
Du 08.11.25 au 06.02.26*
Du mercredi au samedi ► 21h​
Le dimanche â–º 15h30
Le mardi 30.12.25 â–º 21h
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*sauf les 10, 24 et 25/12/25
et les 01, 09 et 30/01/26
Théâtre contemporain
À partir de 12 ans
1h22
Plein tarif : 28€
© Crédit photos : Barbara Buchmann-Cotterot
De : Eugène Ionesco
Mise en scène et scénographie : Christophe Lidon
Assistante à la mise en scène : Mia Koumpan
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Avec : Valérie Alane, Chloé Berthier, Thomas Cousseau, Armand Eloi, Vincent Lorimy, Nathalie Lucas
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Lumières : Cyril Manetta
Musique : Cyril Giroux
Vidéos : Léonard
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Tout l'humour corrosif de Ionesco !
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Le roi Bérenger ne veut pas le reconnaître, il va mourir....
Son royaume se dégrade et malgré l'accompagnement de ses deux reines et de son entourage, il enrage. Voici le parcours de cet homme jusqu’à la fin, de son pouvoir, de sa vie, de Tout…
Cette œuvre majeure du XXème siècle, en forme de parabole tragicomique, emprunte le chemin de l’humour pour nous toucher au cœur. Et quel humour ! Décapant, poétique, désarmant, inattendu, il nous mène droit vers "une sorte de libération de notre angoisse" comme le confiait Ionesco lui-même.​​
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Production : Théâtre des Gémeaux Parisiens, avec l'aimable autorisation de François Volard, Acte 2
Une création CADO Centre National de Création Orléans-Loiret
​"une réinterprétation grinçante du classique de Ionesco sur la mort inéluctable. Christophe Lidon met en scène cette œuvre maitresse d’Eugène Ionesco qui conte les derniers moments du règne de Bérenger 1er, monarque fictif dans un monde qui chavire. Au delà des ressorts comiques, le metteur en scène a voulu privilégier l’aspect humain de l’affaire (...). Les comédiens, Valérie Alane, Chloé Berthier, Thomas Cousseau, Armand Eloi, Vincent Lorimy, et Nathalie Lucas sont cette petite troupe qui entoure le monarque. Les murs se fissurent, mais la pompe royale est maintenue, vaille que vaille. À noter aussi la bande son très soignée de Cyril Giroux. Quand Bérenger entre en scène, il est pieds nus, les pantoufles à la main. Plus rien ne va dans ce palais où le chauffage est lui aussi aux abonnés absents. C’est bien le début de la fin." L'Humanité
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​"Christophe Lidon nous propose sa propre version de ce classique du répertoire contemporain, une version on ne peut plus vive, dynamique, dans une mise en scène où la vie règne en maîtresse, alors que le thème principal est paradoxalement celui de l’individu confronté à la mort.(...) Christophe Lidon a réuni sur le plateau une petite troupe d’excellence, qui ne va ménager ni son énergie, ni son engagement pour interpréter tous les protagonistes de l’histoire.(...) Christophe Lidon est pleinement parvenu à entrer dans cette pièce, imposant avec succès sa griffe propre, et ce avec quantité de parti-pris tous plus judicieux les uns que les autres." Delacouraujardin.over-blog.com
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​"On associe souvent la pièce à un Ionesco en recherche de spiritualité à la fin de sa vie. Dans la lecture très démonstrative de la pièce qu’en fait Christophe Lidon, rien de cela, c’est l’absolu désespoir de l’homme face à l’injustice que représente pour lui la mort.
La situation ubuesque est d’un réalisme sans faille et le décor qui s’assombrit, se lézarde, se rétracte, le montre fort bien." Hotellotheatre
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​"Christophe Lidon fait ressortir toute la richesse de cette parabole tragi-comique et poétique sur l’homme face à sa fin. (...) Du très bel ouvrage." Coups d'Œil
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"Chef d'œuvre de mise en scène pour un chef d'œuvre du théâtre (...). La pièce est magnifique à voir." La Provence
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​"Tout en rythme et rupture de ton, cette pièce nous émeut et nous fait sourire de notre humanité si imparfaite, elle nous prend par la main et par l'âme vers un rien inévitable. Décapant, poétique, désarmant, inattendu, il nous mène droit vers 'une sorte de libération de notre angoisse' (...). Brillant !​" Aubalcon.fr
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​"Ionesco, maître du théâtre de l’absurde, a su mêler le tragique et le comique pour parler de l’angoisse humaine face au temps, à la mort, au néant. La mise en scène de Christophe Lidon, malicieusement orchestrée, souligne avec délicatesse l’humour noir et l’ironie qui traversent le texte. L’absurde de la situation nous amuse, mais nous sommes aussi émus par la fragilité de ce roi qui nous ressemble tant (...). Tous, magnifiques comédiens, nous captivent et nous émeuvent par leur talent et la justesse de leur jeu. Le Roi se meurt est une pièce à la fois drôle, touchante et profondément humaine." Critiquetheatreclau.com
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​"Théâtral, cruel, drôle… intense. Quel bonheur de réentendre ce texte absolument sublime." Laffiche.co​​
















